Fiction : Rayven.
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Fiction : Rayven.
C'est la mode de poster ses fictions ? A mon tour ! Enjoy les suicidaires lecteurs !
Je poste qu'un bout de ce que j'ai écris jusqu'à présent. Le début est long, rempli de descriptions et il s'y passe rien. Mais j'espère que ça vous plaira.
Ce que j'écris c'est plutôt du fantasy, je crée un univers à la sauce "Tales Of" pour ceux qui connaissent cette séries de jeux dont très peu d'opus sont sortis en France, mais d'excellents RPG !
Bref, je m'égare, voici la bête, c'est à peu près le tiers de ce que j'ai écris, il s'y passe pas grand chose, c'est le début, c'est toujours le problème avec ce genre de créations, soit on est obligé d'expliquer au début, soit on rentre dans le tas et on explique peu à peu, j'ai fais mon choix. C'est assez lourd et la mise en page n'est pas très agréable et ne donne pas très envie, alors bonne chance pour la lecture ! (Si vous comptez lire ça )
J'aime pas du tout ma première phrase introductive, je la changerai sans doute par la suite.
Je poste qu'un bout de ce que j'ai écris jusqu'à présent. Le début est long, rempli de descriptions et il s'y passe rien. Mais j'espère que ça vous plaira.
Ce que j'écris c'est plutôt du fantasy, je crée un univers à la sauce "Tales Of" pour ceux qui connaissent cette séries de jeux dont très peu d'opus sont sortis en France, mais d'excellents RPG !
Bref, je m'égare, voici la bête, c'est à peu près le tiers de ce que j'ai écris, il s'y passe pas grand chose, c'est le début, c'est toujours le problème avec ce genre de créations, soit on est obligé d'expliquer au début, soit on rentre dans le tas et on explique peu à peu, j'ai fais mon choix. C'est assez lourd et la mise en page n'est pas très agréable et ne donne pas très envie, alors bonne chance pour la lecture ! (Si vous comptez lire ça )
J'aime pas du tout ma première phrase introductive, je la changerai sans doute par la suite.
- Spoiler:
- Voici mon histoire, moi, jeune étudiante de droit, tout juste diplômée de l'école d'Eozen, capitale du continent d'Helm, seul continent qui à ce jour, fut entièrement cartographié par le Grand Héros et ses acolytes : Rahs, Braz et Timan. Ce même héros qui fut le seul à revenir du désert aride et chaud du continent : L'Aldaguar, qui doit son nom aux vers gigantesque qu'on peut y trouver. Le seul à revenir des montagnes glacées d'Ifjadol, des grottes perdues dans les abîmes du sol, de l'ile perdue au milieu des lacs des huit tourbillons habités par de gigantesque Krakens, et enfin le seul à revenir des marécages de Vipary. Et pourtant, tout héros possède une fin: il est dit qu'il serait mort en essayant de partir à nouveau à l'aventure. Armé d'un nouvel équipage, il aurait disparu sur les grandes mers en essayant de relier les autres continents.
Personnellement, je ne crois pas à ces foutaises, ce ne sont que des histoires à faire endormir un enfant, le continent aurait été mieux cartographié que les bêtes approximations d'altitude, de longueur et de largeur des lieux dangereux d'Helm. Je ne crois ce que je vois, toute cette stupide religion et ce mythe, je trouve ça ridiculement faux. C'est bien pour ça que je veux devenir procureur, pour rétablir la vérité et la justice chez tous ces brigands, sectaires et autre tueurs.
Pour achever mon apprentissage, je devais me rendre à Ifjadol et suivre des procès tous plus violents les uns que les autres, en effet cette ville est réputée pour son taux de criminalité le plus haut de tout le continent, en même temps, que peut-on espérer d'une ville avec si peu de règles et de lois, c'est bien le prix à payer, qui autorise combats à mort dans ces colisées ridicule et qui ne condamne pas le port d'armes, cette ville est juste impraticable la nuit, et se promener dans ses environs est juste impossible, tellement ses alentours sont peuplés de brigands, et pourtant il y règne une atmosphère de tranquillité et de sécurité, la garde de la ville étant entièrement constituée de gens entraînés à se battre et qui connaissent les lieux.
C'est la surprise que j'eus en arrivant en ville, autre part on en dit que du mal, alors que je me rends compte maintenant que les autres sont juste jaloux que ce système marche encore mieux que les autres, il y fait bon vivre, c'est un style de vie différent. Qu'à cela ne tienne, cette ville avait quand même le plus haut taux de criminalité du continent.
C'était le jour J, j'allais suivre les trois procès d'aujourd'hui, j'étais sur le chemin, sortant de mon appartement de location situé à une dizaine de minutes à pieds du palais de justice, j'aperçus un homme courir, très grand, très baraqué, on ne pouvait pas le louper, il semblait fuir quelque chose, étrange, un homme aussi baraqué que lui qui fuyait comme une gazelle courant pour sa vie devant un guépard, et ce guépard semblait arriver, j'entendais des bruits de course, des fracas de chaînes qui s'entrechoquent et des essoufflements de plus en plus fort derrière moi.
Je n'eus même pas le temps de me retourner pour voir ce qui arrivait vers moi qu'une personne me poussa et me fit tomber à terre, il continua sa route à travers les personnes et quand il n'y eu plus âme qui vive en face de lui mise à par sa proie, il sortit une arbalète de je ne sais où, qu'il déplia, il décocha un carreau qui fonça droit vers sa cible, pile en pleine tête. Le sang ne gicla même pas, il savait exactement où tirer, ce n'était pas sa première fois, ça pouvait se voir, le spectacle était impressionnant, sur le coup, mais je commençais peu à peu à me rendre compte que c'était un homme qu'il avait tué, je restais glacé au sol par cette scène horrible. Il ramassa son carreau plus loin sur sa cible, le nettoya et le rangea, il se saisit du corps le porta à son épaule et commençait à s'en aller, dans ma direction.
Il arriva à mon niveau alors que j'étais toujours à terre, me tendit sa main. De caractère impulsif et nerveux, je ne pouvais oublier qu'il m'avait fait tomber avant, alors je repoussai sa main et me releva. Il releva ses sourcils d'un air étonné, il était grand, de chevelure brune, raide et court, mais beaucoup de masse avec de petits yeux bruns, un nez assez grand mais ça lui allait bien, une assez grande bouche avec des lèvres bien pulpeuses et une mâchoire assez prononcé, il portait une longue veste gris sombre descendant jusqu'à ses genoux ouverte sur une chemise de couleur noire, rentrée dans son pantalon noir couplé d'une ceinture à métal blanchâtre, il portait de grosses chaussures de marches avec toute saturations du blanc vers le noir, bizarre mais très classieuses, il savait très bien s'habiller.
Son arbalète qui était rangée, était pliée sur sa cuisse droite, légèrement cachée par sa veste, il allait commencer à parler quand je le coupai: "Vous n'êtes qu'une ordure ! D'abord vous me faites tomber puis vous tuez une personne lambda dans la rue. Qu’avez-vous dans la tête ?
-Moi qui tenais à m'excuser... Avouez que vous êtes en rogne juste parce que je vous ai fais tomber, vous vous moquez un peu que cet homme soit mort, ne vous inquiétez pas, j'ai mes raisons d'avoir détruit cette ordure, ce n'était pas une personne lambda. Et maintenant, si vous voulez bien m'excuser, j'ai affaire à faire.
-Comment osez-vous me parler de la sorte, c'est surtout le fait que vous m'avez mis en retard qui m'énerve, cette journée était très importante pour moi et vous l'avez gâchée et vous n'aviez pas à tuer cet homme, c'est contre la loi.
-Vous voyez, la mort de cet homme arrive après le fait que vous soyez en retard, vous êtes aussi égoïste que moi en le tuant, et puis rien ne vous empêchait de partir, vous êtes juste tombée par terre, vous n'allez pas dire que c'est ça qui vous a fait être en retard, quand même mademoiselle, ayez une once de bon sens en utilisant de bons arguments. Sur ce, je vous laisse, je vous souhaite tout de même de passer une bonne journée, au plaisir mademoiselle."
Je ne lui ai pas répondu, je restais figé une fois de plus par la politesse avec laquelle il avait terminé, et il avait raison, je ne savais pas quoi lui répondre, j'avais juste eu un excès de névrose, comme cela peut souvent m'arriver, lui était très gentil, mais il ne fallait juste pas le chercher, il a eu raison de réagir comme ça, je m'en voulais, un peu. Il partait, portant le cadavre sur son épaule alors je ne pus m'empêcher de lui dire : " Excusez mon comportement, vous avez raison, mais le meurtre est tout de même tabou, vous devez avoir de bonnes raisons pour avoir fait ça, je peux voir que vous n'êtes pas quelqu'un de mauvais, je vous souhaite de passer une bonne journée vous aussi."
Je ne revenais pas que j'eus réussi à m'excuser devant quelqu'un, ce n'est pas du tout mon genre, alors j'attendais sa réponse avec impatience, il me fit un signe de la main, je comprenais "ce n'est pas grave" et il me répondit : "Allez dire ça aux autorités quand ils découvriront qui est le meurtrier, je vais passer ma vie en prison, mais je ne le nie pas, j'ai tué quelqu'un. Sur ce, au plaisir de se revoir, ou peut être pas, alors adieu, et bonne chance pour votre retard". En effet il avait tué, et pour quelqu'un qui veut devenir procureur, je ne suis pas censé penser à l'inverse des lois, il devait se retrouver en prison, la durée dépendra des circonstances et des raisons, j'aimerais assister à son procès pour savoir ce qu'il adviendra de lui...
J'étais en retard, je me dépêchais d'arriver au palais de justice, pour rencontrer mon tuteur de stage. Il était en plein milieu du premier procès de la journée, j'ai du attendre la fin pour pouvoir me présenter à lui. Il m'expliqua que mon retard n'était pas si grave, que c'était facilement rattrapable, il était très sympathique, mais il m'expliqua également que j'étais là pour étudier une journée complète qui comprenait tout, la pression d'un procès, la fatigue de la journée et le stress de condamner une personne innocente ou de libérer un meurtrier, les trois procès de la journée.
Donc je ne pouvais pas poursuivre la journée avec lui. Arriva le moment fatidique où je dus lui expliquer les raisons de mon retard. Si je lui avais raconté la vérité, j'aurais mis ma connaissance en danger. Je ne pouvais pas faire confiance à une personne exerçant ce métier, j'allais dénoncer mon ami meurtrier, j'ai donc dû inventer une histoire mais comme mon imagination n'était pas de la partie je lui ai simplement dit que j'avais oublié de régler mon réveil par habitude de me lever plus tard. Il me répondit que ce n'était pas grave, qu'on déciderait ensemble d'une autre date pour mon stage, ce qui ne fut pas dur, j'étais prête pour n'importe quelle date, alors on a conclu pour dans deux jours.
Maintenant je devais trouver quoi faire pendant le reste de la journée et le lendemain, je ne savais pas quoi faire. Je quittais les locaux du palais de justice avec les souvenirs de cet homme mystérieux que j'avais rencontré, j'aurais bien envie de le revoir. Mais je ne savais pas comment.
Je me dirigeais donc au même endroit où je l'avais rencontré, rien ne s'y trouvait, il n'y avait aucune trace de lui, je décidais donc de suivre la route qu'il emprunta plus tôt, cette rue était bondée de bars, restaurants et boutiques, quelle chance pour moi, je rentrais partout, le peu de témoignages l'ayant vue me disait qu'il avait continué dans cette direction, cette rue était très longue, c'était compréhensible, par contre je ne voyais pas du tout où il pouvait se rendre, je ne connaissais pas assez la ville pour connaitre toutes les rues.
Je pris une ou deux heures avant d'arriver à la fin de la rue, les derniers établissements ne semblaient pas l'avoir vu. Je me souvenais alors qu'il était parti avec le cadavre, il l'a surement ramené dans une morgue. Je me suis donc renseigné autour des passants pour savoir où était la morgue la plus proche de cette rue, il devait forcément y en avoir plusieurs dans Ifjadol. On me donna son emplacement mais également qu'elle était fermée entre midi. Je suis donc allé déjeuner en attendant son ouverture.
Cette histoire me trottait dans la tête, je n'arrivais pas à m'en défaire, elle me hantait, c'était la première fois qu'une chose de la sorte m'arrivait, je ne pouvais pas à m'en défaire, cet homme me hantait, je sentais le besoin de le revoir. Je stressais de peur de le revoir, mais je stressais aussi qu'il ne soit pas content de me revoir, et pourtant, notre rencontre n'était pas si joyeuse quelle aurait pu l'être, ce sentiment était bizarre, je ne l'avais jamais ressenti, en 20 ans de vie.
Mais je me suis quand même demandé une chose pendant que je mangeais ma pièce de viande de veau très peu grasse avec sa crème et ses pâtes, il avait tué quelqu'un en pleine journée, comment se fait t-il que la garde n'ait pas réagi, pour une grande rue comme celle là, il devait au moins y en avoir un, cette question me trotta mais je ne pouvais pas mettre de réponse au bout, pourtant nombre d'hypothèses m'étaient parvenues: Aurait t-il traqué sa proie depuis un certain moment au point de connaitre tout ses déplacements, de positions des gardes et toutes les rues d'Ifjadol, ou bien a t-il attendu la relève de la garde ? A t-il tué le garde discrètement avant ? Un simple coup de chance que le garde ne regarde pas à ce moment lá ? Ou bien les gardes auraient-ils peur de lui ? Je cogitais beaucoup depuis ce matin, mais toujours au bout d'un sujet commun: cet homme mystérieux, il m'obsédait vraiment, peut être que m'arrêterais de penser à tout ça une fois que je l'aurais revu.
Nous verrons bien, j'espère juste le retrouver. Je revenais sur l'hypothèse des gardes qui auraient peur de lui, il était peut être massivement recherché, il était peut être un meurtrier de masses et tentait de m'amadouer. Non, je ne pouvais pas penser à cela. Le temps passait excessivement vite avec tout ça. Il était déjà deux heures de l'après midi, la morgue était ouverte depuis une demie heure. Je me décidais donc d'aller payer mon repas et je me mettais en route pour la morgue.
Alors que je marchais je pouvais voir des voitures tirés par des animaux locaux, des espèces d'oiseaux géants ressemblants à des autruches mais avec un grand cou et une grande tête, ils étaient de différents plumages, allant du blanc au noir au passant par des mélange des deux, leurs becs et leurs yeux étaient aussi noir que la nuit, je n'en avais que vu dans les livres de la bibliothèque de mon école. Réputés pour leur incroyable docilité et leur endurance à toute épreuve, les Dofars sont les meilleurs amis des aventuriers en quête de gloire dans les plaines ou les montagnes enneigées. Il y avait pleins d'animaux comme ça qu'on trouve plus ou moins partout dans Helm, la faune y est très intéressante.
La morgue était à présent devant moi, alors que j'entrais je pouvais déjà voir au fond de la salle un cercueil ouvert avec une personne du personnel juste devant. Je m'approchai et arriva à sa hauteur. Le cadavre était bel et bien l'homme de ce matin. Alors le vieux monsieur en costume m'interpella : " Vous êtes de sa famille ? C'est bien triste ce qui lui est arrivé, un carreau d'arbalète dans sa tête, au moins son tueur a eu assez de respect pour le ramener ici.
-Je ne suis pas de sa famille non, mais je souhaite retrouver l'homme qui l'a amené, pourriez vous me renseigner ?
-Hmm, je vois, et bien vous l'avez loupé de très peu, il est arrivé il y a quarante minutes, à l'ouverture, il avait l'air pressé, il m'a laissé le corps et beaucoup d'argent, m'a dit de lui donner un bon cercueil, un bon bouquet de fleurs, et une bonne tombe et que si il y avait du reste il était pour moi, il m'a également dit qu'il ne cache en rien qu'il a commis un meurtre, et que si quelqu'un voulait des informations sur lui je pouvais lui donner. " A ces mots il sortit un papier, je fis de même, il m'épella son nom : Rayven Blade. C'était un nom bizarre, mais pourquoi pas, je l'écrivis sur mon bout de papier. Je remerciai le vieil homme et sortit. Je me remis en route.
Il lui avait payé une très bonne sépulture, ça paraît étrange après ce qu'il lui a fait, ses raisons m'intriguaient de plus en plus. Mais je me retrouvais perdue maintenant, j'avais son nom, mais j'allais en faire quoi ? J'étais assez bête pour avoir été heureuse en recevant son nom, il était presque quinze heure et je ne savais plus quoi faire. Je décidais de laisser tomber les recherches pour l'instant. J'allais un peu marcher avant de rentrer chez moi. La grande place était pleine de gens, les gens marchaient, rentraient et sortaient des bâtiments comme des fourmis dans une fourmilière. Une foule de gens étaient amassés devant une colonne d'un grand magasin, ils formaient un demi-cercle autour.
J'approcha pour espérer voir ce qu'il y avait, une nouvelle affiche était présente, avec la photo d'un célèbre combattant du colisée, je détestais ça mais tout le monde connait Doken, le plus belliqueux, puissant et rusé des combattants, il avait terrasser 167 personnes y compris le grand champion précédent qui avait 76 victoires à son actif.
Doken est le champion du combat à mort, je ne peux pas comprendre qu'on puisse faire ça, mais y penser ne changera rien, il semblerait bien qu'un nouveau combattant l'ai défié. Je n'eus même pas lu le nom du kamikaze qui le défiait en combat singulier. Je commençais donc à me diriger vers chez moi.
Les rues étaient désertes. Les affiches du futur combat étaient placardées partout, beaucoup de gens s'arrêtaient devant pour lire, les combats, et ceux à mort étaient très appréciés, on y venait en famille, entre amis, pour voir des gens s'entretuer, c'est la mentalité nordique, je ne pense pas pouvoir la comprendre vu la citadine que je suis. Je m'arrêtais devant la porte de mon appartement de location, un de ces affiches était sur ma porte, je l'arracha proprement et y jeta un coup d'œil.
En dessous de l'image de Doken il y avait écrit : "Demain, vendredi 18 mai à 13h30, le terrible Doken affrontera un nouvel adversaire pour remettre son titre en jeu, il s'agit de Rayven Blade, jeune combattant qui a à son actif 77 victoires, Rayven ne sait que bien se battre, il excelle dans l'art de la mobilité et de la ruse. Son arme de prédilection au corps à corps est la faux, une arme bien inconnue du grand public, mais les meilleurs guerriers savent qu'elles peuvent être très imprévisible, puissante et rapide, mais elles sont très difficiles à manier et il est difficile de parer avec, son arme de prédilection à distance est l'arbalète à tir en rafale. Le combat risque d'être intéressant entre ces deux adversaires d'exceptions."
J'étais un peu déçue d'apprendre qu'il était combattant mais je m'y attendais un peu avec son tir d'arbalète. Il allait peut être mourir dans ce combat, je sentais le besoin d'y assister, je l'avais cherché toute la journée, j'avais retrouvée sa trace, c'était décidé, j'assisterais au combat demain. Il était aux environs de quatre heure, je n'avais pas acheté ma place pour demain, alors je repartis aussi tôt pour m'acheter un billet, l'anecdote intéressante c'est que les bénéfices que ces combats font sont reversées à des associations caritatives, je n'y aurais jamais cru, je commençais de plus en plus à renier les choses que la vie m'a inculquée.
J’apercevais au loin la file d'attente pour les achats des billets, je ne semblais pas être la seule à les acheter au dernier moment, je me glissais dedans. Je regardais et écoutais les gens devant, derrière moi, ils avaient tous l'air surexcités à l'idée de pouvoir y assister, je les entendais tous dire que Doken allait encore une fois massacrer son adversaire, j'étais un peu inquiète pour Rayven.
L'attente fut de courte durée, la file avançait à une vitesse phénoménale. Arrivé à mon tour le caissier me demanda : " Bonjour, privé ou public ?
-Hum, bonjour, quelle est la différence entre les deux ?
-Oh je vois, c'est votre première fois, eh bien, vous avez bien choisi votre combat, celui là sera sans doute le meilleur de l'année, et bien la différence c'est si vous préférez des gradins plus calmes, avec des places plus espacés, ou des places plus bruyantes et plus collés, évidemment les places privées sont plus chers, mais comme c'est votre première fois et que c'est mon jour de bonté je peux vous faire une réduction, avez vous croisé ce Rayven depuis que vous êtes ici ?
Il fait payer ses places à ses amis.
-Oui, je l'ai croisé, je lui ai même un peu parlé aujourd'hui. Je préférerais une place en privé.
-Oh et bien c'est parfait, donnez moi juste votre nom et prénom et là où vous l'avez rencontré et une adresse, il arrive qu'il rencontre des gens sans leur demander leur noms." Il sortit un papier et un stylo, me le tendit, j'inscrivais toute les informations qu'il me demanda et les lui rendit. "Merci bien ! Dans le pire des cas s’il ne se souvient pas de vous la facture vous sera envoyée par la poste, voici votre ticket ! " Il me tendit un ticket que je pris. Je le remerciai et m'en alla.
Direction chez moi, je n'arrivais pas à croire que j'allais assister à un combat qui me répugnait autant d'habitude. Je passais ma soirée tranquillement en lisant un peu et en me couchant tôt. Je me réveillai en sursaut à cause du réveil que j'avais oublié de désactiver la veille, il était huit heure un quart.
Je me préparais à partir, tout ce qu'il fallait et je partis pour la ville. Je pris un sandwich que je mangerais à midi, je me promenais un peu, je faisais les boutiques en attendant midi trente pour aller au colisée, je trouvais tout intéressant, les nordiques avaient un style pas très différent mais ils osaient beaucoup plus qu'à la capitale, beaucoup plus de couleurs, de vêtements à motifs, de styles différents, dans la capitale, il suffit d'un peu de différence, une couleur trop flash, un habit trop court, et tout le monde vous regarde de travers, cette ville était plus intéressante.
La vie en communauté fait moins peur que dans la capitale, les gens y sont plus chaleureux, je n’allais pas tarder à m’en rendre compte lorsque l’une des employés du magasin de vêtements me demanda très gentiment si j’avais besoin d’aide ou de conseils, d’habitude je n’apprécie guère cette manie des employés à suivre tous les mouvements des clients, on se sent espionner très rapidement, mais la demande de celle-ci m’inspirait beaucoup de sympathie, je déclinais gentiment son offre en lui disant que je ne faisais que regarder. Je ne regardais pas l’heure qui filait comme une flèche, j’eus seulement le temps de faire quatre magasins tellement j’étais intriguée par tous ce qu’il se trouvait dans les rayons. Il était déjà presque midi et demi.
Je me dirigeais donc vers le colisée qui se trouve au centre de la ville, tout le monde semblait excité, la ville était très active et l’on pouvait voir des gens courir un peu partout, sans doute ce combat a-t-il crée une attraction touristique et les habitants des alentours d’Ifjadol sont venus pour ce combat qui a été décrit comme le combat de l’année.
Trouver ma place dans le colisée ne fut pas une tâche compliquée, le coin privé était bien distinct de l’autre, je m’assis à ma place, autour de moi, à quelques mètres, les personnes déjà présentes étaient très bien habillés, ils dégageaient un air hautain, ils semblaient être de la haute société, d’un milieu social plutôt aisé, personne ne parlait à personne, les femmes remuaient leurs éventails devant leur visage enterrées sous des tonnes de maquillages, les hommes, quant à eux, se noyaient dans la fumée que dégageaient leurs pipes. Ils voulaient sans doute éviter tout contact avec des gens qu’ils estimaient inférieur à eux, être collés à d’autres gens, ce n’était pas pour eux.
Le colisée formait une ellipse, en forme de cuvette, c’était très astucieux comme technique, elle permettait aux spectateurs les plus éloignés de bien entendre et voir le combat.
En face des gradins privés se trouvait les publics, où les gens affluaient en masse, ils se mettaient assis à côté de gens qu’ils ne connaissaient même pas et commençaient tout de même à sympathiser entre eux, c’était impressionnant, à quel point la vie ici était basé sur l’esprit communautaire, c'est comme si tous le monde s'aimait et qu'il n'y avait pas de haines.
Il était déjà une heure passée, je mangeais tranquillement mon sandwich en scrutant le décor autour de moi, l'arène, au centre, était grande, de forme arrondie, remplis de sable, quelques piliers équipés de chaînes autour remplissait le vide de cet exécutoire, deux entrées et sorties chacune en extrémités, elle se trouvait à un niveau inférieur au nôtre, on pouvait assez bien voir depuis où je me trouvais.
Il y avait également un niveau entre l'arène et les gradins ou nous étions, je ne sais pas à quoi il pouvait servir. Enfin, la cabine des commentateurs, elle se trouvait en plein milieu du côté public, elle était équipée d'amplificateur de voix, un système ingénieux, de longs tubes en forme d'entonnoir qui, lorsque l'on parlait à l'intérieur, faisait transposer la voix de celui qui parle dans tout le colisée. Il était aux environs de treize heure trente et presque tout le colisée était rempli, il n'y avait que très peu de places vide.
Les commentateurs décidèrent de faire leur apparition pour nous occuper en attendant que les combattants se préparent, ils se présentèrent , dès la prononciation d'un de leur nom, une foule d'applaudissements, de cris et de sifflements apparurent, le deuxième nom fut décliné et une autre partie de la foule fient de même, enfin, les personnes des gradins publics, cette animation qui semblait être une coutume avant un combat ne semblait pas plaire mes très chers amis qui commençaient à m'exaspérer tant ils dégageait de la vantardise en détournant le regard et en râlant discrètement.
Je compris plus tard que les deux présentateurs se charriaient souvent, et que cela avait sans doute créer un jeu de faire le plus de bruits possible pour montrer la supériorité d'un des deux présentateurs, mais cela restait très joyeux et cela se faisait dans la bonne humeur. Loze et Konlat, les deux présentateurs, avaient chacun leur propre caractère, je ne pouvais pas moi même me choisir un préféré, je ne pouvais pas me baser sur une apparition aux combats à morts pour choisir.
Ils expliquèrent comment le combat allait se dérouler, il était en trois parties, dix minutes de combat à distance, suivi de quinze minutes de combat au corps à corps et le reste du temps serait un combat sans règles jusqu'à ce que l'un des deux combattants meurent ou n'abandonne. Les abandons se faisaient très peu mais apparemment, Rayven ne tuait pas beaucoup de ses adversaires contrairement à Doken qui les tuaient tous. Cela voulait dire que si Doken gagnait, Rayven sera tué...
J'avais peur de cette possibilité mais je m'efforçais de ne pas y penser. Dans l'arène, des hommes s'efforçaient de changer le décor, en y rajoutant plusieurs objets afin de pouvoir se couvrir, je compris que ces objets serviraient lors du combat à distance.
Le combat allait démarrer, la foule tenait de moins en moins en place, elle était impatiente, impatiente de voir deux hommes s'entretuer pour le simple plaisir des yeux, et des oreilles. Malgré la bonne ambiance générale je n'arrivais pas à éprouver du plaisir à regarder un tel massacre. Qu'à cela ne tienne, les deux combattants sortirent de leurs loges, ils étaient tous deux en tenue légère en tissue, l'un armé d'une grande arbalète, l'autre de deux lances reliées à deux chaînes qu'il enroulait autour de ses bras.
Doken était en manches courtes, pour laisser apparaître son corps relativement bien entretenu, ses bras étaient très musclés, plus que Rayven en tout cas qui lui était en manches longues mais en tenue assez moulante. Il n'était pas aussi beau que quand il était habillé comme la veille, mais cet habit dégageait un charme de "mauvais garçon". Ils se serrèrent la main au milieu de l'arène et se dirigèrent chacun d'un côté de l'arène. La tradition voulait que les deux combattants fassent un signe distinctif pour montrer qu'ils sont prêts.
Doken lança une lance dans les airs et la tira avec sa chaîne accrochée à son bras pour qu'elle revienne vers lui, son geste était parfait, la lance restait droite autant au lancer qu'à la récupération. Rayven tira quant à lui, un carreau d'arbalète dans les airs, tout simplement. Les présentateurs avertis déclenchèrent le début du combat avec un lourd sifflement dans cette corne qui amplifiait la voix qu'il appelait mégaphone.
Les deux combattants se mirent à couvert, Doken derrière un tonneau, Rayven derrière une longue et épaisse plaque de bois, il pouvait rester debout alors que Doken devait rester à genoux. Rayven tira un deuxième carreau dans les airs, mais cette fois si, il mit sa main devant le projectile et ainsi il se transperça la main, la foule et moi même ne comprenaient pas du tout ce qu'il venait de faire, tous poussèrent des cris d'étonnements, avait t'il décidé d'abandonner en sachant qu'il allait perdre ? Non, car Doken envoya une de ses deux lances directement par dessus l'obstacle qui couvrait Rayven, et à l'aide de la chaine qu'il rabatta sur le haut de l'obstacle fit ramener la lance derrière l'obstacle, son arme était très puissante et pouvait passer outre les obstacles.
Pour se protéger, Rayven effectua une roulade sur le côté qui le mis à découvert de la seconde lance et la première qui commençait à revenir vers lui, il se releva et courra rapidement autour de l'arène en tirant une dizaine de projectiles avant de se mettre à couvert derrière une caisse pour se faire un garrot à la main et de recharger un barillet de carreaux dans son arbalète. Doken eu du mal à esquiver les carreaux du à leur rapidité extrême et en pris un dans la main, et un autre dans la chaîne de la lance qui revenait à lui, la chaîne cassa, mais la trajectoire de la lance continua et la force que la brute y avait mis pour sortir cette arme qui était entrée dans la grande plaque de bois se retourna contre lui, il tenta de l'esquiver mais se pris quand même sa propre arme droit dans ses côtes, ce choc le fit tomber au sol, alors que la lance qui l'a transpercée continua sa trajectoire dans un bord de l'arène.
Le colosse fut complètement étonné lorsqu'il aperçut dans le ciel, le carreau que l'arbalétrier avait lancé à travers sa main redescendre et foncer droit sur lui, on pouvait voir sur son visage l'inquiétude et la panique, il n'eut même pas le temps de réfléchir ni de bouger que le carreau s'enfonça droit dans l'autre main qui n'a pas été meurtrie mais qui avait perdue sa chaîne et sa lance auparavant. Alors que Doken regardait où avait atterri ce carreau, un autre projectile se dirigea droit vers lui, Rayven avait couru chercher la lance qui a terminée son chemin dans un mur et il la lança vers le ciel pour qu'elle retombe droit sur l'autre bras de Doken, il ne pouvait peut être plus utiliser sa main mais il possédait toujours sa lance accrochée aux poignets par la chaîne.
Mais il ne pouvait plus bouger, il était bloqué, alors l'arbalétrier se dirigea lentement en marchant vers sa cible. Il s'arrêta droit derrière lui et le pointa avec son arbalète, tout le monde comprit que soit il allait le tuer, soit Doken allait abandonner, alors la foule commença à crier comme des dingues et à l'applaudir, même ceux de la partie privé se sont mis à l'applaudir.
L'un des deux commentateurs signa la fin du combat avec un nouveau sifflement dans le mégaphone. La foule commença à se lever et à les applaudir encore plus, je pouvais quand même lire la déception sur leurs visages, le combat n'avait pas durer longtemps, pas du tout même ! Les gens s'attendaient à un combat complètement épique du à la réputation des deux combattants, mais cette victoire éclair fut tout de même époustouflante, le champion à plus de 150 victoires à son actif se faire battre en moins de 10 minutes par un challenger qui n'était que très très peu connu.
Rayven releva son arbalète sur son épaule et sortit tranquillement de l'arène, à la sortie, il croisa 3 personnes qui allèrent vers Doken, ils le portèrent en faisant bien attention aux plaies que venaient de lui ouvrir le nouveau champion de l'arène. C'était désormais vide, mais l'on apprit très vite que Rayven allait rejoindre les commentateurs pour une petite interview. À ces mots il arriva dans la salle des commentateurs, il s'asseya entre les deux.
Il se présenta et répondait à quelques questions. Rayven expliqua alors qu'il ne s'attendait pas à autant d'opportunités et de chances de terminer ce combat aussi rapidement, il pensait qu'il durerai au moins jusqu'à la troisième partie, et ne savait même pas si il pouvait gagner, mais il l'a fait. Rayven quitta les gradins très rapidement car il avait affaire à faire. Je voulais le voir pour au moins le féliciter pour ce combat. Je me dépêchais donc de sortir en espérant le croiser, la foule était encore assise, en effet l'interview de Doken allait suivre mais elle ne m'intéressait pas. Je suis donc partie en dehors du colisée.
Je regardais tout autour de moi dans l'espoir de trouver le gagnant, mais je ne le trouvais pas, les combattants n'utilisent certainement pas la même entrée que le public, j'ai alors décidé de commencer à tourner autour du colisée pour espérer trouver l'autre sortie, j'allais déplacer mon premier pied quand une voix dans mon dos s'interrogea : « Vous étiez au combat ?
Je n'imaginais pas que nous puissions nous revoir ici. » Je me retournai et je fus face à Rayven Blade, grand champion de l'arène : « Oui en effet, j'y étais, bravo pour votre victoire d'ailleurs, je ne savais pas quoi faire aujourd'hui alors je suis venu pour voir le combat, cela ne m'intéresse pas trop mais il faut bien une première fois ! » Lui répondis-je.
- Oh, ne vous forcez pas à aimer cela, moi non plus je ne cautionne pas le combat à mort, mais que voulez vous, je n'ai pas eu la chance de faire des études et je me débrouille bien au combat, cette carrière m'était destinée.
-Oh, je vois, ce n'est pas le cas de votre adversaire à ce match, je suis certaine qu'il va continuer de massacrer tous ses concurrents.
-Doken ? Oh, non, c'est un ange, il a juste comprit que pour faire plaisir à la foule et pour gagner plus d'argent il se devait de créer un rôle comme le sien. Il est venu en personne dans ma loge me souhaiter bonne chance et s'excuser si il avait à m'éliminer, il est un homme très bon croyez le.
-Mais quand même, abattre des gens, c'est tout de même sa spécialité, vous n'allez pas me dire qu'il est si bon que ça !
-Vous savez, tous les combattants qui se bataillent dans l'arène n'ont pas forcément choisi cela, ils n'ont pas eu de chances dans la vie, ils n'ont pas forcément eu la chance de faire des études, ou bien ils sont d'anciens esclaves d'autres villes qui sont venus en exil ici et qui ne peuvent rien faire d'autre, leur vie est très souvent accrochée à un fil, ils n'ont plus de famille, plus d'envie, ils survivent juste car ils se sont promis de ne pas se suicider et veulent mourir de manière un peu plus honorifique, je les comprends tout à fait.
-Est-ce votre cas ?
-Pas tout à fait non, en partie peut être, mais je ne compte pas mourir dans ces lieux.
-Je l'espère pour vous, risquer votre vie chaque jour comme cela n'est pas très rassurant.
-Je doute que ce que je veuille faire après soit moins dangereux que cela, au contraire. Excusez moi mademoiselle mais j'ai affaire à faire. Peut être nous reverrons nous un jour. Au revoir !
-Au revoir ! Au plaisir de nous revoir !
Il partit dans la direction de la banque et me laissa seule, devant le colisée. Je pouvais entendre à l'intérieur, la foule qui huait, Doken sans doute. Le peu de discussion que j'eus avec lui m'expliqua de nouvelles choses au sujet de la société, c'était pourtant logique mais je n'y avais jamais pensé à vrai dire. Il n'était que quatorze heure vingt. Je n'avais aucune occupation.
Je suis donc rentré dans mon appartement et étudier jusqu'en soirée, je pris vite fait un dîner, prépara mes affaires pour le lendemain et alla me coucher. Le lendemain matin je me réveilla avec un mauvais pressentiment, quelque chose de grave allait arriver mais je ne savais pas quoi, je n'arrivais pas à manger, j'ai donc du me forcer à manger un petit remontant, mon péché mignon : le chocolat, comme beaucoup de gens. J'étais prête à partir, un peu stressé, je ne savais pas vraiment pourquoi. Cette fois, je partis en avance pour ne pas risquer d'être en retard.
Dernière édition par Rayven le Mar 27 Aoû - 19:48, édité 5 fois
Rayven- Membre Chevronné
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Re: Fiction : Rayven.
Le gros pavé presque pas aéré O.O
Je le lirais ce soir et j'éditerais ce post
Je le lirais ce soir et j'éditerais ce post
Coucouee- Graphiste
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Re: Fiction : Rayven.
Ouais, sous word ça fait moins pavé en fait D: J'éditerai peut être pour aérer.
Rayven- Membre Chevronné
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Re: Fiction : Rayven.
ouais ça serait bien x)
neo-clone- Membre Chevronné
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Re: Fiction : Rayven.
Je vous fais ça dans la soirée !
Rayven- Membre Chevronné
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Re: Fiction : Rayven.
[EDIT 27/08/13]
-Aération des pavés
-Changement de Police
-Agrandissement du texte
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Rayven- Membre Chevronné
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Re: Fiction : Rayven.
Comic sans ms? D:
Coucouee- Graphiste
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Re: Fiction : Rayven.
Trebuchet MS. J'ai trop utiliser Comic, je l'aime plus !
Dernière édition par Rayven le Mar 27 Aoû - 19:46, édité 1 fois
Rayven- Membre Chevronné
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Re: Fiction : Rayven.
J'aime pas le MS
Coucouee- Graphiste
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Re: Fiction : Rayven.
J'ai mis Verdana rien que pour toi !
Rayven- Membre Chevronné
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Re: Fiction : Rayven.
Je lis ça demain matin en fait
Edit: Merci pour le Verdana en fait
Edit: Merci pour le Verdana en fait
Coucouee- Graphiste
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Re: Fiction : Rayven.
Simpatoche
Et oui en tant que graphiste, ne pas utiliser cette police dans la vie est une règle primaire ! x)
Et oui en tant que graphiste, ne pas utiliser cette police dans la vie est une règle primaire ! x)
Angels_dropper- Modeur
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Re: Fiction : Rayven.
Je trouvais Trebuchet MS potable encore D: ! Mais je suis d'accord que Comic Sans MS est bof bof ! Puis bon, j'vais pas écrire en Impact non plus ! Personnellement sur Word j'utilise Segoe UI Light que j'affectionne tout particulièrement.
Bref, j'ai du mal à me motiver à écrire mais si ça vous plaît je poste les suites .
Bref, j'ai du mal à me motiver à écrire mais si ça vous plaît je poste les suites .
Rayven- Membre Chevronné
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Re: Fiction : Rayven.
Faut toujours utiliser des polices "Sans Serif" quand on fait du paragraphe
Go see ces belles polices : http://www.fontsquirrel.com/fonts/list/classification/sans%20serif
Go see ces belles polices : http://www.fontsquirrel.com/fonts/list/classification/sans%20serif
Angels_dropper- Modeur
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Date d'inscription : 25/08/2013
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Re: Fiction : Rayven.
Y en a des sympathiques, mais j'y tiens à mon Segoe UI Light
Rayven- Membre Chevronné
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